Archive of Our Own ^beta

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Les journées étaient devenues chargées et épuisantes depuis qu'Izuku était devenu le numéro 1. Tout le monde faisait appel à lui et il n'avait pas une minute de repos pour lui. Décidant d'enfin mettre fin à sa journée de travail, le vert ne se fait pas prier pour rentrer chez lui.

En ouvrant l'appartement qu'il partageait avec Katsuki, les narines de Midoriya rencontra une magnifique odeur. Odeur qu'il reconnut rapidement : des katsudons, son plat préféré.

Le cendré avait, comme par magie, cuisiné ce que le vert avait tellement besoin de ce soir.

Après s'être déchaussé, le successeur d'All Might se dirigea vers la cuisine. Bakugo, qui n'avait pas entendu son petit-ami arrivé, sentit deux bras l'entourer tandis qu'un sourire prenait place sur son visage.

"Comment s'est passé ta journée ?" demanda calmement l'explosif tout en continuant de préparer le repas.

"Crevante." marmonna Izuku contre le dos de son compagnon. "Comme toujours."

"Parfait pour manger des katsudons alors."

"Parce qu'il faut que je crève au boulot pour avoir mes katsudons ?" questionna-t-il en posant sa tête contre l'épaule du cendré.

"Bien sûr que non." répondit l'explosif mettant fin à la cuisson du repas.

Il se retourna pour faire face à Izuku et pour mieux le prendre dans ses bras. Ce dernier en profita pour passer plus confortablement ses mains dans le dos. Il aimait ces petits moments où ils n'étaient que tous les deux. Le silence prenant place. Le numéro 1 savait qu'il pourrait s'endormir dans cette position, mais il savait aussi qu'il voulait ses katsudons.

Et les katsudons, c'est sacré pour le vert.

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Itadori aimait son senseï, c'était une évidence aux yeux de tout le monde. Les deux hommes s'étaient vite rapproché et le rosé n'avait pu qu'admirer le blanc pour sa puissance et il ne cessait d'être impressionné chaque jour qui passait.

Mais ce que ne savait pas les autres élèves de l'école de Tokyo, c'est qu'Itadori n'aimait pas uniquement son senseï qu'amicalement et en tant que prof. Non, il l'aimait d'un amour si doux que même le concerné ne s'en rendait pas compte. Ces tambourinements dans son cœur, il les avait depuis sa rencontre avec l'homme aux cheveux blancs. Il avait quand même eu sa bouche assez proche de la sienne.

De plus, Gojo n'arrêtait pas de faire les 400 coups pour lui. Il se rappelle la fois où il est rentré dans la pièce, habillé de la jupe de Nobara. Il avait souri tendrement après avoir ri un bon coup. Pendant le temps, où il était présumé mort, il avait apprécié les différents moments passé avec le blanc.

Il se souvient même du moment où Satoru était revenu d'un magasin de bijoux avec une montre après que le rosé lui avait dit qu'il s'ennuyait tout et qu'il n'y avait aucune horloge pour lui donner la notion de temps. Il avait trouvé ce geste tellement mignon qu'il avait légèrement rougit. Seulement, son senseï n'avait rien vu, trop absorbé dans son propre monologue.

Tout ses petits moments là resteront gravé dans la mémoire.

Rien, ni personne ne pourra effacer ça.

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Le moment préféré de Tony ? C'est, bien évidemment, se réveiller le matin dans les bras de son Captain.

Il ne peut pas laisser qu'un sourire prendre place sur son visage en voyant le visage endormi de son compagnon. Cet air si paisible, le milliardaire le connait par cœur. Cet air qui ne lui est destiné qu'à lui et lui seul.

Un autre moment qu'il préfère et toujours au réveil. C'est de pouvoir observer ce regard céruléen se poser sur lui en premier. Le génie ne pouvait que trouver magnifique la couleur des yeux de Steve. Rien ne pourrait égaler ce regard - et le derrière rebondi et américain - du blond.

Entendre la voix encore endormi du Captain qui l'appelle est une si belle mélodie pour les oreilles du brun.

Tony adorait les matins comme ça, auprès de son mari.

C'était bien son moment préféré de la journée.

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Cela faisait plusieurs jours qu'entre Merlin et Arthur, ce n'est pas le fort. Encore aujourd'hui, leurs amis regardent une nouvelle dispute éclater entre eux. Gwen était attristée par cette situation qui ronge ses deux amis. Ce ne sont que pour des broutilles en plus. Elle voyait bien que Merlin était affecté par cette relation.

Soudainement, elle eut une idée et elle demanda l'aide de Perceval et Lancelot pour les séparer. Comme elle si attendait, Arthur se débattit quelques secondes tandis que le brun, lui, se laissait faire.

Gwen invita Merlin à s'assoir, ce qu'il fit, avant de discuter avec lui.

"Quel est votre problème entre Arthur et toi pour que vous vous engueuliez si souvent ?" dit-elle. "On vous avait jamais vu comme ça auparavant." Merlin baissa sa tête et commença à jouer avec ses doigts.

"Pour être franc, je ne sais pas trop non plus." Il entendit la brune soupirer à côté de lui.

"Vous avez commencé pour quelle raison à vous engueuler ?" osa-t-elle demander. Le brun se mit à réfléchir.

"Je lui avais dit que je voulais des enfants et toute suite après, il s'est braqué. Depuis, à chaque fois, que j'essaye d'aborder le sujet, ça part loin. " dit-il. Il regarda son amie au bord des larmes. "J'ai peur, Gwen. J'ai si peur de devoir me séparer d'Arthur alors que je l'aime toujours." La brune le prit dans ses bras, calmant le brun. Elle devait parler à cet idiot.

oOo

En rejoignant Arthur, elle fit signe à Perceval de les laisser seul. Ce dernier obéit avant de fermer la porte derrière lui.

"Pourquoi tu ne m'avais pas dit que Merlin voulait avoir des enfants avec toi ?" demanda Gwen en s'asseyant près d'Arthur;

"Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi." dit-il, énervé. "Je ne veux pas en entendre parler." C'est au tour de la jeune femme de s'énerver.

"Et pourquoi, Arthur ? Je t'ai toujours vu adoré les gamins et quand c'est à ton tour de devoir en avoir un, tu es irritable comme si tu les avais toujours détesté."

"J'ai peur/Merlin est sur le point de te quitter si tu ne changes pas." avouèrent-ils. "Quoi ?" répétèrent-ils ensemble puis le silence. Gwen reprit la parole.

"Merlin est sur le point de te quitter. Mais ça serait trop dur pour lui. Il t'aime et toi aussi. Mais vous voir ainsi, il ne peut plus le supporter." Arthur soupira.

"Ce ne que je n’ai pas envie de changer, mais comme je te l'ai dit, j'ai peur."

"Mais peur de quoi ?"

"De ne pas être un bon père." Gwen le regarda un instant avant de sourire tendrement.

"Arthur, tu sais que Merlin sera à tes côtés. Et si c'est parce que tu as peur de devenir comme ton père, il y a aucune chance que tu sois comme lui. Tu es cent fois plus sympa que lui." Le blond la regarda, surpris. "Va rejoindre et lui expliquer, j'en suis sûr qu'il comprendra, mais je suis aussi sûr qu'il te dira la même chose que moi." Arthur sourit avant d'embrasser la joue de Gwen et de rejoindre son brun.

Il arriva dans le salon et remarqua que son compagnon avait relevé sa tête vers lui. Reprenant son souffle, il se rapprocha doucement de Merlin.

"Est-ce que je peux parler à Merlin, seul à seul ?" dit-il en regardant Lancelot. Ce dernier, sentant la discussion sérieuse, les laissa. "Merlin, je suis désolé pour toutes les dernières disputes. Je suis désolé de t'avoir fait souffrir. C'est juste que..." Arthur prit une longue respiration. "J'ai peur de ne pas être un bon père."

"Comme tu peux penser ça ?" répondit le brun en regardant Arthur dans les yeux. "En oubliant ces derniers semaines, tu as été un mari parfait et je suis sûr que tu seras un père exceptionnel. Tu n'es pas comme lui. Tu es la personne que tout le monde rêve. Si je devais refaire ma vie à zéro, je reprendrais exactement la même que celle que je vis en ce moment avec toi. Alors si tu veux bien, je veux qu'on fonde une famille ensemble."

Le blond sourit. "Je le veux. Je ferai tout pour être à la hauteur de tes paroles."

Et comme promis, Arthur tient promesse et fut un merveilleux père pour ses enfants, Mike et Léa.

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"Accorde-moi une dernière danse." fut les dernières paroles qu'ils avaient dites à Neal. Il était censé faire la fête pour la fin d'année, ne se préoccupant plus des derniers jours de cours qu'il leur restait.

Killian passait une merveilleuse soirée et juste voir le sourire du brun le rendait heureux. Il avait de la chance de l'avoir dans sa vie. Mais la vie en avait autrement.

Des coups de feu résonnèrent et les élèves commencèrent à hurler et à courir dans tous les sens. Neal se rapprocha du brun en se collant contre lui tandis que ce dernier le prit dans ses bras. Ils ne savaient pas ce qui se passer, mais il devait à tout prix s'en aller d'ici avant qu'il leur arrive quelque chose.

Malheureusement, de nouveaux coups de feux résonnèrent et Killian sentit son compagnon le repousser, se retrouvant au sol. Neal venait de le pousser pour qu'il ne se prenne pas une balle.

"Neal" cria le jeune homme en se mettant près du brun. Il remarqua que son petit-ami était touché vers le milieu du torse.

"Killian..." appela Neal d'une faible voix. Le susnommé se retourna vers lui. "Fuis..."

"Jamais..." répondit-il en lançant des larmes perler sur ses joues. Il n'avait jamais auparavant et il n'aurait jamais pensé pleurer pour Neal. Enfin pas maintenant. "Je ne peux pas te laisser ici seul."

"Killian, je n'y survivrai pas." dit-il en toussant légèrement. Le brun posa sa main contre la joue de Killian. "S'il te plait, va-t'en." Le jeune homme ne bougea pas et vient seulement coller ses lèvres contre celle de son vis-à-vis. Il avait le goût de sang. Il détestait le sang. "Pars." continua Neal. "Fais-le pour moi et vis."

Dans les secondes qui suivent, la main du brun vint se fracasse au sol. Neal venait de perdre la vie. Killian resta quelques secondes avant de fuir le plus discrètement possible.

Il se promet qu'il vengerait ceux qui ont ôté la vie de celui qui l'aimait.

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Perdre son grand-père, sa seule famille, pour Itadori, ça été très dur. Il avait eu l'impression qu'on lui coupait sa seule source d'air. Mais il était resté fort. Pour lui. Il ne voudrait pas que je pleure avait-il dit à l'infirmière qui était venu le voir après l'annonce de la mort.

Il lui avait en quelque sorte promis de mettre sa force aux services des autres. Et c'est ce qu'il avait fait le soir même. Un jeune homme au regard ténébreux, du nom de Megumi Fushiguro, était venu le voir pour une relique de classe S. Un truc qui avait l'air normalement dangereux.

Il avait compris tout de suite de quoi il parlait et ils sont allé le chercher à son école où normalement ces deux camarades y était. L'ébène lui avait dit de rester là, mais seulement, il n'a fallu à peine quelques minutes pour qu'il enfreigne les ordres du jeune homme.

Et heureusement. Il avait pu sauver ses amis avec l'aide de Fushiguro. Il avait ensuite manger le doigt pour ne pas se faire dévorer par le fléau.

Sans ça, il ne serait jamais allé à l'école d'exorcisme, n'aurait sûrement jamais rencontré Gojo Satoru, ni Nobara. Et il aurait encore moins développé des sentiments pour l'ébène.

"Yuuji, ça va ?" demanda Megumi. Le rosé tourna sa tête vers son compagnon.

"Oui tout va bien." Il déposa un léger baiser sur la joue de l'ébène, qui sourit sous le geste. "Je t'aime."

"Moi aussi, je t'aime." Après cette déclaration, le jeune homme posa sa tête contre l'épaule du jeune exorciste tandis que son regard se posa sur son sensei, le père qu'il n'avait jamais eu, échappé de la fureur de Nobara, qui avait appris pour sa jupe.

Il avait enfin trouvé sa famille, son chez-lui.

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Ce n'était censé être qu'un simple footing matinal de quelques kilomètres dans les rues de Londres comme Gwaine avait pris l'habitude depuis des années déjà.

Seulement, tout en essayant de se frayer un chemin entre les nombreux londoniens qui se pavanaient sur les trottoirs de la capitale, son regard en capta.

Un autre coureur, plus grand que lui et dont la musculature du corps s'apparente à un bodybuildeur. Un regard aux magnifiquement bleus qui ne laissa pas le brun si indifférent que ça. Un coup de foudre.

L'autre brun l'avait remarqué et il ne put laissé ses joues rougir légèrement tout en souriant timidement. Ça à l'air d'être un gros nounours pensa Gwaine. Perturbé par le brun, le colosse s'arrêta dans sa course, suivit de près par ce dernier. Ils se regardèrent quelques instants encore avant de se diriger l'un vers l'autre.

Silence. Le colosse à l'air d'être très gêné.

"Euh,... Je m'appelle Perceval." répondit-il, voulant engager la conversation.

"Gwaine." continua le brun.

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Ils avaient enfin leur final à eux. Langa va pouvoir enfin se confronter à son Reki.

Seulement, le temps en décida autrement et la pluie prit place.

Il ne fallut pas énormément de temps pour que Reki, n'ayant pas ses roues adaptées à ce genre de situation, glissa dans un virage et se retrouva le derrière dans la boue.

Sur le coup, Langa s'était inquiété en voyant la chute de son petit-ami. Mais il vit rapidement que le rouge n'avait rien. Par contre, sa tenue était magnifiquement recouverte de boues tout comme le visage de Reki.

Le voyant ainsi, le bleu ne put que rigoler tandis que le skateur, toujours dans la boue, grommela dans sa barbe inexistante.

"Aide-moi au lieu de rire" Le canadien se calma avant de prendre la main du rouge. Malheureusement, en tirant le rouge, il glissa à son tour, se retrouvant sur le dos, Reki sur lui et son visage près du sien. De son pouce, il vient débarrasser la boue sur la joue droite et déposa un léger baiser sur les lèvres du rouge, qui rougit sous le geste.

"Je t'aime" dit-il en souriant légèrement tandis que le skater enfouis son visage dans son cou.

Trop cute pensa Langa.

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Cela faisait une semaine déjà que la bataille finale avait pris fin, emportant de nombreux morts et surtout la perte d'êtres chers. Ne plus revoir Natasha et Tony était trop dur pour Steve.

La rousse était devenue comme une petite sœur pour lui tandis que le milliardaire avait pris une place importante dans son cœur. Jamais personne d'autres ne pourrait la prendre.

Le blond se remémora les derniers scènes de la bataille. Il s'était rapproché du génie après que ce dernier est claqué des doigts. il sentait qu'il ne leur restait plus que quelques minutes.

"Steve..." appela-t-il d'une voix cassée. Le blond s'accroupit à côté de lui, ne pouvant empêcher les larmes de couler sur son visage sali par la poussière. Le brun posa sa main contre une des joues du Captain avant de venir essuyer les larmes. "Je t'aime, Steve. Sache-le. Je t'aimerai toujours et à jamais." continua-t-il en souriant.

Steve lui sourit tendrement tandis que le brun ferma les yeux.

À jamais.

Comme s'il n'était qu'endormi, le blond vient déposer un léger baiser sur le front du milliardaire.

"Moi aussi je t'aime. Toujours et à jamais." chuchota-t-il.

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Avant toi, je n'étais personne.

Rejeté par ma famille et ce monde, tu as quand même décidé de venir à mon aide quand je me fais harcelé par mes propres camarades de classe.

Avant toi, je ne connaissais pas l'amitié.

Voulant être près de moi, tu avais décidé de m'intégrer à ton groupe d'amis, qui m'avait immédiatement apprécié. Pour la première fois, tu m'avais vu sourire.

Avant toi, je ne connaissais à peine la joie de vivre.

Malgré que je continuais à me faire frapper par mes parents, je vivais des moments incroyables à tes côtés. Tu avais décidé que tu ne me laisseras pas seul, sans être sûr que je serais en sécurité.

Avant toi, je n'avais pas un vrai foyer.

Quand tu as appris que je n'avais non seulement pas mes camarades qui me frappaient, mais aussi mes parents. Tu as décidé de m'héberger après avoir expliqué mes problèmes à tes parents. À vous trois, vous m'avez donné la force de porter plainte contre mes parents pour "violence infantile".

Avant toi, je n'avais pas de famille.

Après que ta famille est accepté que j'habite avec toi, j'ai découvert ce qu'était le bonheur d'avoir des parents. Même s'il n'était pas les miens, je les appréciais beaucoup. Se faire chouchouter et apprécier me faisait tellement du bien.

Avant toi, je ne connaissais pas l'amour.

Passé du temps avec toi nous avait très rapidement rapproché jusqu'à ce que je développe des sentiments pour toi. En apprenant que tu m'aimais aussi, je ne pouvais que penser à l'avenir qui nous était promis.

Avant toi, je n'avais rien, mais avec toi, je peux vivre sans me soucier des événements futurs.

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August avait toujours regretté d'avoir laissé tomber Emma seul lorsqu'elle n'était qu'un simple bébé. Ce remord d'avoir laissé un nourrisson seul alors que son père, Blanche et David avaient compté sur lui pour la protéger. Il l'avait échoué.

Alors, les années qui ont suivis, il avait aidé du mieux qu'il pouvait la petite princesse. Et il avait réussi. Il se rappelait la fois où il lui avait raconté l'histoire du vilain petit canard. Il lui avouait que c'était chouette les contes.

"Le vilain petit canard. Je l'adorai quand j'étais un enfant."

Emma lui avait immédiatement répondu que c'était un enfant. Il sourit avant de continuer :

"Quand j'avais ton âge, je l'adorai. Les meilleurs contes parlent tous de la même chose. D'une transformation. Et là tu vois, le canard devient un cygne. C'est très beau."

"Non, c'est pas l'histoire. Le canard a toujours été un cygne. Sauf qu'il en savait rien."

"Toi, c'est peut-être que tu vois dans ce compte. Moi, je pense qu'il parle d'y croire. De la force d'un caneton si convaincu qu'il deviendra un cygne. Qu'un beau jour, c'est ce qu'il est devenu. Quand on y croit suffisamment fort, on a tous le pouvoir de changer notre destin." Il regarda autour de lui suivit de près par la jeune fille. "En parlant de ça justement, c'est vraiment le destin ce que tu rêves ? Ton dernier foyer était nul mais... le prochain serait peut-être bien."

Avec ces paroles, il avait convaincu Emma de faire le bon choix. Et il continua ainsi jusqu'à sa rencontre avec son fils Henry.

Une bonne chance dans sa mauvaise action passée : il a pu faire la rencontre de Graham et ensemble, ils ont pu avoir une magnifique petite fille du nom de Lucy. Le pantin en bois avait réussi sa mission, qu'Emma retrouve sa famille, mais aussi de se trouver une famille.

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Aujourd'hui, c'est l'anniversaire des 2 ans de leur mise en couple.

Pour l'occasion, Benji a décidé d'offrir un magnifique bouquet de fleur. Il n'est pas un romantique pour rien dans l'âme et Victor adore ces petites attentions.

C'est pour cela que Benji avait décidé de sortir avec lui. Avoir entendu le défendre auprès de Derek, cela faisait un moment qu'il n'avait pas entendu de tels pareils mots auprès de son ex-petit-ami. Alors il avait décidé de mettre fin à leur relation.

Il avait ensuite retrouvé Victor et les deux s'était avoué leurs sentiments naissants. Un merveilleux moment pour le châtain.

Bouquet en main, Benji se rapprocha de Victor, dos tourné au barista.

Ce dernier se retourna au moment même où Benji tendit le bouquet de fleurs.

"Joyeux anniversaire." dit-il en souriant au basané. Victor sourit avant de se pencher contre le bar pour venir chercher les lèvres de son vis-à-vis.

"Merci, mon cœur." Le châtain sourit avant de venir à son tour l'embrasser.

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Depuis qu'il n'était qu'un bébé, Henry passait ces semaines entre ses deux mères et ses deux pères. Se séparant sur de bons termes, Emma et Neal avait décidé de faire une garde partagée pour le bien être de leur enfant commun.

Cette semaine, le jeune garçon serait trouvé donc chez ses pères. Henry appréciait tellement Killian. Il apprenait pleins de choses sur son métier de policier. Il se rappelait aussi des nombreuses péripéties que le brun lui racontait, l'épatant et l'impressionnant énormément.

Il passait de super moments ensemble sous le regard amusé de son deuxième père, Neal. L'écrivain était toujours occupé par son travail, mais quand son fils était avec eux, il essayait le plus possible de se libérer de son travail, profitant au maximum de son fils.

Le moment préféré d'Henry était le coucher. Son père, Neal, lui racontait de magnifiques histoires. Killian pouvait en témoigner que c'était le seul moment où le jeune garçon était le plus calme de la journée. L'histoire finie, Henry ne peut pas s'empêcher de déposer un baiser sur les joues de ses deux pères avant de leur souhaiter bonne nuit.

Killian adorait cette petite famille. Jamais il n'aurait cru cela possible s'il n'avait pas rencontré l'écrivain.

Il ne le remerciera jamais assez pour ça.

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Bakugo avait pressentiment concernant la relation entre Deku et IcyHot. Il avait l'impression que le bicolore n'avait pas de très bonnes intentions envers le vert. Le cendré lui avait fait part de ses impressions auprès du successeur d'All Might.

Mais rien à faire. Le jeune homme était persuadé que ce n'était que de la pure jalouse parce qu'il se retrouvait dans une relation stable et pas lui. L'explosif ne pouvait pas nier qu'il avait un peu de jalousie envers le bicolore.

Il ne pouvait pas nier aussi que c'est parce qu'il avait des putains de sentiments pour le vert. Le voir heureux, sans lui, lui faisait mal. Après tout, qui pourrait l'aimer ? Et surtout Izuku ?

Tout le mal qu'il lui avait fait endurer pendant ses années, elles ne pourront pas s'envoler comme si ce n'était qu'un mirage en plein milieu d'un désert.

Heureusement pour lui, le moment qu'il attendait arriva plus vite que prévu. En voulant se diriger dans sa chambre, l'explosif devait passer devant la chambre du bicolore.

Au niveau de la porte de cette dernière, Izuku y était présent. Ne frappant pour demander la permission, le successeur d'All Might entra, ne pensant pas à la vue qu'il attendait.

"Bébé, je..." Devant lui, Shoto et Momo étaient en train de s'embrasser quand la déléguée remarqua la présence du vert et de son air choqué. Le fils d'Endeavor se retourna croisant le regard de son "petit-ami".

"Izuku, ce n'est pas ce que tu crois."

"Je te faisais confiance..." cria Izuku, les larmes se frayant un chemin sur ses joues. La brune regarda Shoto.

"Je croyais que vous n'étiez plus ensemble ?" dit-elle en s'écartant de lui. "Tu m'as menti." ajouta-t-elle. Déjà qu'elle n'avait pas trop de confiance en elle, elle était contente que Shoto lui permette de l'aider. Mais en fait, c'était pour la rendre encore moins confiante. Créati se retourna vers Izuku. "Je suis tellement désolée, je ne le savais pas. J'espère que tu me pardonneras." Sans attendre une seconde de plus, elle quitta la chambre du bicolore en courant, cachant son visage en larmes dans ses mains.

Pendant ce temps, le cendré s'était rapproché de la chambre et avait tout vu. Ses mains commencèrent à créer quelques explosions, mais il se retient de ne pas en coller à IcyHot. Le vert ne voudrait pas que ça se passe comme ça.

"Izuku, je..."

"Ne lui adresse plus la parole, IcyHot." grommela l'explosif.  "Je savais que quelque chose se tramait." ajouta-t-il, se rapprochant de Deku, posant une main sur ses hanches. "Dire que Deku te faisait confiance. Tu n'es qu'une ordure." Le vert, qui était resté silencieux depuis un moment, regarda le cendré. Jamais il n'aurait pensé qu'il se souciait de lui. Et dire qu'il ne l'avait pas cru le jour où il avait dit qu'il ne le sentait pas.

Ayant fini de discuter avec le bicolore, le cendré tira son ami de la chambre de ce dernier. Il n'avait pas envie qu'il reste une seconde de plus dans la chambre de ce connard. Quelques mètres plus tard, Izuku tira la manche de l'explosif. Bakugo le regarda tandis que le vert avait la tête baissée. Ce dernier releva la tête tout en demandant :

"Kacchan... Tu peux me prendre dans tes bras ?" Katsuki réfléchit un instant avant de se décider à le rapprocher, le serrant contre son torse. Il ne fallut pas longtemps pour que le vert se mit à craquer.

"Tout va bien se passer." chuchota le cendré, une main dans les cheveux du plus jeune. "Je ne te laisserai pas seul."

Ils restèrent quelques minutes comme ça.

"Et si pour oublier ce crétin, ça te dirait de regarder un film avec moi ?" demanda Bakugo. Le vert hocha la tête contre son torse. Bakugo passa ses mains derrière les jambes d'Izuku pour venir les prendre et les positionner au niveau de ses hanches. Cela sera plus facile pour porter le plus jeune. Comprenant ce qu'il devait faire, Midoriya resserra son emprise contre Bakugo pour ne pas tomber.

Ils arrivèrent rapidement dans la chambre du plus vieux. Ils s'installèrent sur le lit après que Bakugo est lancé le premier film. Toujours coller à Katsuki, Izuku jetait de temps en temps des coups d'œils à ce dernier, se demandant si cela ne le gênait pas. Mais à un moment, le cendré se retourna, un peu énervé, vers le vert qui s'était aussi retourné vers lui. Leur visage ne se trouvait qu'à quelques centimètres de l'un et de l'autre.

Bakugo se retenait de ne pas venir embrasser Izuku. Il venait quand même de séparer d'IcyHot. Seulement, il ne s'attendait pas à ce que ça soit qui se rapproche de lui et l'embrasse.

Se rendant compte de sa bêtise, Izuku se recula en s'excusant.

"Ce n'est rien, j'ai bien aimé." répondit simplement Bakugo avant de revenir capturer les lèvres de son vis-à-vis.

Il sourit intérieurement. Il venait de gagner contre IcyHot. Il avait voulu jouer avec lui et il avait perdu.

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Depuis quelques jours, Pietro trouvait Clint assez bizarre. Comme s'il lui cachait quelque chose. Et ça, le rapide n'aimait pas trop ça.

Il lui avait demandé plusieurs fois s'il lui quelque chose et plusieurs fois, l'archer avait dévié la conversation.

Il essaye encore une fois aujourd'hui et même scénario; Seulement, ce fut la fois de trop pour le Sokovien.

"Pourquoi j'ai l'impression que tu me traites comme un gamin. Comme si tu ne pouvais pas me dire ce qui se passait."

"Tu sais que je t'ai toujours traité comme un adulte !" répliqua Clint.

"Oui, même quand j'étais qu'un putain de gamin." ajouta le blanc, un peu plus sur les nerfs. "Alors pourquoi ça serait différent aujourd'hui."

"Parce que je ne sais pas commencer te demander de m'épouser." s'écria-t-il, laissant les mots passer la barrière des lèvres.

"Quoi ?'

"Ce que je veux dire... c'est..." Il posa un pied à terre en sortant une petite boite carrée de sa poche. Il l'ouvrit pour laisser entrevoir une magnifique bague. "Veux-tu m'épouser ?"

"Il l'a fallu tout ce temps pour me demander, le vieux ?" Clint grogna pour la forme. "Bien sûr que je vais t'épouser." Le rapide aida l'archer à se relever avant de l'embrasser. "Je t'aime."

"Moi aussi, je t'aime."

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Adrien s'était toujours demandé ce que lui servirait de suivre des cours de langues des signes. Encore une idée de son père pour faire de lui, une personne parfaite sachant parler dans plusieurs langues.

Il n'aimait pas ce qu'il faisait, ayant rarement des répits pour lui. Heureusement, qu'il pouvait compter sur le fait qu'il était à l'école. Ce moment avec ses amis, même si c'était pour son avenir, lui permettait de se sentir libre pendant quelques heures.

Arrivant à son école, Adrien sortit de la voiture, saluant ses amis avant de se diriger vers leur salle de cours.

Madame Bustier, rentra avec un jeune homme aux cheveux bleus.

"Bonjour tout le monde, nous accueillons un nouvel élève aujourd'hui. Veuillez tous accueillir chaleureusement Mario." Tout le monde, à part Chloé et Sabrina, lui souhaitèrent la bienvenue. "Il y a, cependant, une autre chose que je dois vous dire à propos de Mario. Il est, en fait, muet. Il ne pourra donc pas vous répondre.

"Bienvenue dans notre classe, Mario." fit-il dans la langue des signes. Le bleuté sourit avant de lui répondre. Le cœur d'Adrien fit un bon dans sa poitrine. Quel magnifique sourire pensa-t-il. Il ne remarquait pas que tout le monde l'avait regardé le temps de répondre à Mario.

"Mec, tu sais faire la langue des signes ?" lui demanda Nino.

"Encore un truc que mon père m'a demandé d'apprendre."

"Cool." répondit simplement le DJ.

"Si vous voulez, je pourrai vous apprendre." Tout le monde acceptèrent.

Il avait enfin trouvé une utilité à ce qu'il apprenait depuis des années. Même s'il avait envie de communiquer qu'uniquement avec Mario.

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Kody soupira.

Comment Lumine arrivait à attraper toutes les merdes possibles ? Il se demande des fois s'il n'est pas un véritable aimant.

Il avait réussi à échapper à sa mère, mais dès qu'il avait trouvé un endroit pour se cacher. Lumine commençait à se sentir pas bien. Ils firent venir un médecin et il décréta que le blanc avait une allergie aux pollens.

Maintenant, il se retrouvait à veiller sur le chien garou, couché dans un lit, un tissu mouillé sur le front.

Ce fut une violente première allergie pour le blanc.

En plus, de cela, ce n'était que le début du printemps.

Il espérait que sa mère ne le retrouve pas entre temps. Sans Lumine, il ne pourra pas se défendre seul.

Un nouveau soupir passa, ses lèvres.

Pourvu que cela passe vite.

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Depuis la naissance de leur fils Henry, Neal et son mari Killian n'avaient jamais eu le temps de se reposer et de profiter pleinement d'un moment de répit. Alors, aujourd'hui, les deux hommes avaient décidés de prendre du temps pour eux. Ils se dirigèrent donc vers la plage, et plus précisément, vers l'endroit où les deux amoureux s'étaient rencontrés pour la première fois.

Une fois arrivé sur les lieux, et comme par magie, Belle et Polochon émergèrent au niveau de la plage. Neal salua ses amis avant de demander des nouvelles de son père au crustacé. Elle le lui raconta tout et comme quoi son petit fils chéri, exagérant sur les gestes pour se moquer gentiment, de son bon Roi. Le Prince se mit à rire avant de rejoindre sa famille.

Pour mettre un peu l'ambiance, Belle partit chercher ses amis avec le petit poisson jaune. Quelques minutes plus tard, un petit concert était organisé, mettant une ambiance agréable à ce petit moment de repos.

Henry s'amusait au rythme de la musique.

Neal eut une idée et la jeune père se rapprocha de son enfant et prit ses deux petites mains. L'enfant le regarda un instant avant que son père se mit à bouger au rythme de la musique. Tout les deux se mirent à danser, Henry guidé par les pas de son papa.

Plus loin, Killian les regardait, sourire aux lèvres. Voir son mari apprendre à Henry à danser était une belle vue qu'il gardera graver dans sa mémoire.

La musique finit, les trois hommes applaudirent le petit groupe de poissons.

Rien ne valait mieux que cela pour commencer leur magnifique journée tous ensemble.

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Ça s'était produit un jour d'été.

Mafuyu, adossé contre un arbre, écoutait leur musique. Il était en pleine réflexion, cherchant pour trouver les paroles qui concorderait avec ce nouveau son.

Uenoyama, le rejoint rapidement avec deux boissons en main. Le temps était idéal, mais lourd à cause de la forte chaleur. Posant les cannettes près de lui, s'assit en tailleur avant de regarder son petit-ami gribouiller des paroles tandis qu'il prenait sa guitare, grattant les cordes.

Le rosé posa son carnet au sol avant de prendre sa boisson. Le chanteur porta sa canette à sa bouche sous le regard du bleu. Buvant une gorgée, une goutte décida de faire son chemin ailleurs.

Une impulsion se propagea dans le cœur du jeune guitariste. Une envie de lécher cette goutte et d'embrasser Mafuyu lui semblait être une bonne idée.

Il ne lui fallut pas plus de deux secondes pour que la canette vole et que le bleu posa ses lèvres sur celle de son vis-à-vis.

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Une douce odeur venait chatouillait les narines de Shinso, l’endormi. Toujours dans le brouillard du sommeil, les neurones du jeune homme mirent du temps à se connecter afin de comprendre ce qui sentait ainsi : l'électrique était en train de cuisiner pour la première fois.

Le violet sortit de leur lit avant de rejoindre doucement la cuisine. En silence, il déposa un baiser sur la joue de Kaminari, sursautant sur le coup. Sa tête rejoignit rapidement l’épaule de son compagnon.

"Bonjour, bien dormi ?" demanda le blond, retournant le pancake qui cuisait doucement dans sa poêle. Il entendit qu’un petit bruit comme réponse. Denki sourit.

Quelques minutes plus tard, les deux jeunes hommes étaient à table, savourant les pancakes de l’électrique.

"Pas mal pour une première fois." prononça Shinso entre deux bouchées. Les lèvres de Kaminari s’étirèrent en un sourire. "J’étais sûr que ça serait très bon." ajouta-t-il en regardant l’autre, ayant pour effet de rendre encore plus éclatant le sourire de son compagnon.

Oui, il devrait cuisiner plus longtemps. Il savait qu’il se ferait un plaisir de manger ses petits repas.

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Arthur était mort. Il s’était pris un coup d’épée par Mordred, la lame de cette dernière forgée dans le souffle d’un dragon.

Il savait qu’il ne pourrait que le sauver qu’à Albion. Malheureusement, le temps était compté et il n’avait pas eu assez pour le sauver.

Dans ses derniers instants, Arthur l’avait remercié pour te ce qu’il avait fait et il lui avait même dit de ne pas changer, de rester tel quel.

Rappelle-toi que je t’aime furent les dernières paroles du blond avant de rendre son dernier souffle.

Le retour à Camelot fut compliqué pour Merlin. Il apprit la mort de Gwaine, allongeant la liste de personnes chères pour lui.

Tout le monde s’inquiétait pour le sorcier.

"Qu’est-ce que le chagrin si ce n’est l’amour qui persévère ?" avait-il dit quand on lui avait demandé si tout allait bien. Certes, le brun avait pleuré la mort de son compagnon, mais il s’était promis d’être fort.

Pour Arthur.

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Reki avait invité son compagnon à manger à l’extérieur de leur petit appartement.

Seulement, il ne s’attendait pas à ce que le bleu l’emmène manger dans un fast-food et engloutir une dizaine de burgers. Il s’attendait plus à un restaurant un peu plus chic.

Soupirant, il n’avait pas réussi à dire non à l’ancien snowboardeur. Sa petite bouille toute mignonne avait encore fonctionné. Après tout, comment ne pas aimer Langa ?

Le rouge avait toujours l’envie de venir prendre les joues de ce dernier et de jouer avec comme un bébé de quelques mois qui s’amusent à étirer celles de la personne qui se trouvait en face de lui.

Croquant dans son sandwich, il repartit dans la contemplation du bleu sans que ce dernier le voit, absorbé dans ce qu’il était en train de faire, c’est-à-dire manger.

"Je t’aime." sortit simplement le jeune homme aux cheveux rouges. Langa le regarda quelques instants avant de dire :

"Moi aussi, je t'aime, mais là, j'ai très faim." Il replongea dans son repas tandis que Reki tirait une de ses têtes.

Alors comme ça, un hamburger comptait plus que lui ?

Il se mit à imaginer des scènes assez... insolite ? Il ne savait pas trop comment les définir. Il ne put rigoler qu'à la pensée de voir Reki demander en mariage le burger.

Mieux vaut ça qu'une autre personne.

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Après l’annonce de Jiwon voulant qu’il s’installe ensemble, le jeune homme n’avait pas mis beaucoup de temps pour emballer ses affaires dans des cartons prêt pour le déménagement. En même temps, il ne pouvait pas cette chance de s’échapper.

Jiwon aimait DG et lui, il l’aimait.

Quelques jours plus tard, les deux jeunes hommes se retrouvaient à déballer les cartons dans leur nouvel appartement. Le barista en ouvrit un contenant les affaires de son fiancé.

Il en découvrit quelques crayons de dessins, de peintures et des pinceaux qui laissa imaginer que le masque que Jiwon a été créer par lui-même.

DG sourit, n’imaginant pas que ça puisse être lui qui l’ai fait. Mais les preuves étaient sous ses yeux. Son masque était parfait et ce fut la première chose qu’il avait remarqué lors de sa première participation aux lives de BJ Alex.

Jiwon était parfait. Il n’en avait jamais douté. Enfin si, au début, lors de leurs moments de parties de jambes en l’air sans sentiments. Mais avec le temps, il s’était rattrapé et lui avait montré un meilleur lui.

La présence du barista a en été un peu responsable.

Dans un autre carton, il découvrit d’autres choses qu’il n’avait pas encore vu de son compagnon. Il en sortit une combinaison toute en cuir qui devait être moulante sur l’ébène. Rien que de penser à cela, il sentait son cœur battre à la chamade et quelque chose d’autres qui était en train de vite se dresser.

Déposant rapidement la tenue à côté de lui, il continua de fouiller le carton et en découvrit une photo de famille, un jeune chaton dans les bras de Jiwon, et un collier qui semblait être celui de l’animal.

"Oh, tu as retrouvé ça ?" dit une voix qu’il reconnaissait entre mille mais qui le fit sursauter quand même à cause de la surprise. Malgré cela, il se reprit rapidement et demanda d’une voix calme :

"Comment s’appelle-t-il ?" ll désigna le chat du doigt :

"Il s’appelait Thon" répondit l’ébène.

"Thon ?" Le jeune barista ne put s’empêcher de rigoler à ce petit ridicule, mais tellement mignon à la fois.

"Que veux-tu ? Il adorait tellement le thon et on n’avait aucune idée comment le nommer donc on a décidé de l’appeler ainsi." Dans sa voix, DG pouvait savoir qu’il souriait, mais il sentait de la tristesse un certain moment.

Ce chat devait être son seul ami au vu de ce que Jiwon lui avait dit à propos de sa famille. Faisant face à son fiancé, il le prit dans les bras, ce dernier répondant à son étreinte.

Se séparant par la suite, l’ancien BJ vient déposer un baiser sur les lèvres de son compagnon pour le remercier.

DG sourit avant de profiter à nouveau des bras de l’ébène.

Jamais il ne le quitterait, il se le promit.

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Le petit d'exorcistes de l'école de Tokyo, accompagné de Satoru Gojo, profitait de leur jour de repos pour aller se baigner ou se détendre au bord d'un lac.

Les trois gamins qu'étaient Yuuji, Nobara et Satoru s'étaient rapidement directement jeté à l'eau et commencé à s'éclabousser entre eux. Enfin, plutôt entre le rosé et la brune vu que leur senseï avait activé son infini, ce qui agacé énormément les deux ados.

Sur le rivage, Panda et Toge parlaient, une tasse de thé à la main tandis que Megumi, au côté de Maki, profitait du peu soleil qui traversait les nuages.

Son livre devant les yeux, l'ébène ne remarqua pas Itadori se rapprocher de lui et venir lui baiser le front. Surpris par ce baiser mouillé, il regarda mal son petit-ami qui lui sourit sans s'en soucier.

"Pourquoi tu as fait ça ?"

"Parce que j'avais envie." répondit-il tout simplement, son sourire s'agrandissant encore plus. Cet air joyeux ne mit pas longtemps à faire rougir le jeune homme qui détourna rapidement le regard. Comment peut-il être aussi mignon ? pensa-t-il. Deux secondes plus tard, il sentit le corps mouillé d'Itadori se poser contre le sien.

"YUUJI !!!!" cria-t-il avant de rencontrer encore le visage angélique de son compagnon.

"Quoi ?"

"Rien." C'était certain, Megumi était définitivement faible devant Yuuji.

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Le calme était revenu à Storybrooke et pour fêter cela, Blanche et David décidèrent de faire de Regina, la 1ère reine des royaumes unis. Depuis qu'ils sont ensemble, Henry et Hercules n'ont jamais eu le temps de prendre un peu de repos rien que pour eux.

Alors quelques jours après, les deux hommes étaient prêts pour le voyage.

"Tu as pris le nécessaire pour votre voyage ?" demanda Regina en vérifiant ses affaires.

"Oui, Maman. On a tout. On peut partir maintenant ?" répondit-il, un sourire aux lèvres. La Reine ne pourra jamais se lasser de toujours prendre soin de son fils. Ce n'était pas le seul à qui la situation l'amusait. Hercules les regardait, un air amusé sur le visage.

"Oui, bien sûr !" Après lui avoir bisé la joue pour lui dire au revoir, les deux hommes s'en allèrent vers leur voiture. Avant même de rentrer dans la voiture, le jeune auteur lança un haricot magique ouvrant un portail vers leur destination.

Montant dans la voiture, Hercules posa directement la main sur le genou de son compagnon, ce dernier souriant légèrement. Il ne fallut que quelques secondes pour que la voiture du couple traversa le portail se refermant derrière eux.

À leur nouvelle destination, le ciel se faisait plus sombre, le soleil se couchant au loin, et le paysage était beaucoup plus blanc et froid. La différence de température se fit ressentir dans tout l'habitacle de la voiture. Ils s'arrêtèrent un instant pour pouvoir se recouvrir plus proprement.

Ils auraient pu me dire qu'ils auraient pu faire ça avant leur départ ? Mais bon, porter une veste d'hiver sous une température de 30°, ça fait pas très bon ménage tout ça.

Enfin arrivé sur les lieux de leur petit voyage, l'auteur arrêta la voiture et avec l'aide de son compagnon, ils s'installèrent leur campement pour la nuit.

Après quelques heures, la magie opéra enfin sous les yeux émerveillés des deux hommes, enlacés l'un contre l'autre. Les aurores boréales firent leur apparition.

"Oh, c'est magnifique !" s'exclama Henry.

"Un peu comme toi." lui dit simplement, regardant toujours le ciel.

"Comment tu peux me dire ça calmement. Je te déteste." dit-il en plongeant son visage dans le torse de son compagnon. Le demi-dieu rigola avant de venir embrasser le haut du crâne du brun.

"Moi aussi, je t'aime"

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Le jour de Pâques était là.

Qui dit Pâques ? Dit chocolats. Et Olivia adore les chocolats.

Pendant que la petite est occupé avec ses grands-parents, Elio et Oliver sont partis dans le jardin de leur maison pour cacher les œufs en chocolat. Caché des œufs était plus difficile qu'on le pensait. Il faut que les endroits soient accessible à la petite et être visible sans l'être trop.

Il leur fallut une bonne quinzaine de minutes pour que les deux adultes puissent tout cacher.

"Papa ! Dad ! Où étiez-vous ?" s'écria la petite Olivia en se dirigeant vers Elio.

"Nous attendions l'arrivée de la cloche de Pâques !" répondit le blond comme excuse.

"Et alors ? Elle est passée ?" demanda-t-elle, commençant à s'exciter dans les bras de son Papa.

"Bien sûr ! Mais elle nous a malheureusement pas donné les chocolats. Elle les a cachés !"

"Oh..." fit la petite avec une triste moue.

"Ne t'inquiètes pas, on va les chercher !" prononça Oliver en venant caresser la tête de sa fille. Elio posa leur fille tandis que cette dernière, toute heureuse se dirigea dans le jardin, suivit de près par ses grands-parents et ses parents.

Le blond passa son bras autour de la taille de son compagnon. Ils regardèrent leur fille s'extasier à chaque fois qu'elle trouvait un chocolat.

"Elle est tellement chou !" dit l'Italien.

"Elle tient ça de toi, mon cœur !" Le brun rougit.

"Arrêter de faire ton charmeur !"

"Mais ça marche." répondit le dit charmeur en venant l'embrasser.

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Erwin adorait le chocolat. Tout le monde le savait, même Levi.

Alors quand le brun lui demanda "Tu as pris les chocolats ?", le blond lui mentit. Mais il avait bien pris les chocolats : il les avait même manger.

Le plus âgé ne savait pas mentir au plus jeune. Il fut donc surpris quand Levi lui répondit par un simple ok.

Malheureusement, lorsqu'il embrassa son compagnon, le brun avait senti une odeur de chocolat.

"Je croyais que tu n'avais pas pris les chocolats ?"

À ce moment-là, il savait qu'il ne pourrait pas y échapper et que sa fin était proche.

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Violette, fille de Sunwoo et de Léo Kang, adorait que son papa lui lisait des histoires chaque soir.

L'oméga chérissait aussi ses moments avec sa fille. Son deuxième papa était avec eux, juste là à écouter son mari faire la lecture à leur fille.

Un soir, la petite fille demanda, innocemment, à son papa Léo :

"Papa, pourquoi tu n'as pas tout le temps tes oreilles et ta queue de chat ?"